Première vraie journée de vacances avec les garçons et on continue notre progression dans l’histoire d’Istanbul.

Démarrage tranquille avec préparation de la pâte à crêpe pour le soir même.

Ensuite départ pour le « Grand Bazaar » de la vieille ville. Il a été construit au XVème siècle, c’est un truc de fou.

On est arrivé vers 12H00 … on a faim, donc petit sandwich avec cette viande succulente. Mais ça nous arrêtera pas pour découvrir un petit Kepab dans le Bazar.

Il y a des allées partout, bien que le choix reste limité :

  • Vêtements copies de luxe
  • Des antiquités
  • Des bijoux
  • Des « Turkish delight » 

Il y a aussi un « kiosque » du temps des Sultans qui venaient s’installer regarder la vie dans le Bazaar sans que personne ne puisse le voir.

Mais aussi on a la possibilité, si on a un objet de valeur, d’aller voir un prêteur sur gage pour qu’il nous prête de l’argent.

On croise aussi une perruche qui n’est pas attachée, mais elle reste dans ce lieu qui était un ancien bâtiment Romain.

Il y a à l’extérieur des grossistes et on voit le volume qui est traité, c’est gigantesque et on se demande s’il y a assez de monde pour porter des costumes, ou pulls…

On repart et on fait un stop à la poste locale car Nael souhaite envoyer un cadeau à son copain Arthur. Bon, je pense que le timbre aura plus de valeur que le cadeau mais c’est l’intention qui compte.

Ensuite on part dans sur la « Corne d’or » en bateau (le bras de mer qui remonte entre les deux terres européennes). C’est magnifique, le ciel bleu et les couleurs de la fin de journée nous mettent face à un superbe spectacle.

Mais c’est sans compter notre arrivée via un sentier de sépultures, un peu chaotique et qui donne une atmosphère de calme. 

Arrivés au café Pierre Loti, ou Piyerloti, on découvre un spectacle d’une vue extraordinaire.

On se pose et on prend une citronnade et on avance progressivement pour se retrouver face à cette vue dont on peut apercevoir des tours de la partie Orientale. C’est vraiment une vue reposante et on comprend pourquoi Pierre Loti (Julien Viaud de son vrai nom et né à côté de Rochefort) est tombé amoureux de la Turquie.

Il passait des moments à cet endroit pour lire, écrire, et flâner face à cette vue et on le comprend bien.

Après la lecture de Magali sur la vie de Pierre Loti (une vie de dingue, pour la découvrir flasher le QR code plus bas), on remonte à l’appartement.

On s’arrête à Eminönü pour faire quelques emplettes mais les magasins ferment à 20H30, c’est pas grave on a notre super épicier à côté de chez nous qui nous fournira ce qu’il faut.

Ce soir préparation de la journée de demain, soirée crêpes et « Turkish Delight ».