Arrivés à Doha, notre premier objectif est de trouver un guichet de la Qatar pour obtenir nos cartes d’embarquement pour la dernière partie du vol Sao Paulo/Buenos Aires. Ils n’ont pas pu nous les éditer à Phuket et avec seulement 40 minutes de transit, on en pense pas avoir le temps de pouvoir faire le faire à Sao Paulo sans rater notre avion.
On trouve juste en sortant un énorme guichet de la Qatar, notre première interlocutrice nous explique qu’elle ne peut pas faire le check-in car la dernière partie est sur un autre opérateur, Air Canada, et qu’il faudra qu’on fasse le check-on à Sao Paulo. On explique qu’on a que 40 minutes de transit, ce qui est juste le temps pour passer la sécurité et rejoindre la porte d’embarquement et on est redirigés vers un seconde interlocutrice qui nous dit qu’il n’y a pas de problème, qu’on a juste à rejoindre la porte d’embarquement du vol Air Canada, même sans boarding pass, et qu’ils nous les imprimeront sur place.
Ca nous rassure un peu même si on se demande quand même comment on va pouvoir passer la sécurité sans cartes d’embarquements.
On demande quand même à changer de places pour pouvoir sortir plus vite de l’avion car on a vu qu’on était au fond de l’avion. Elle nous trouve des places à l’entrée de l’avion, c’est toujours quelques minutes de gagnées à l’arrivée. On met toutes les chances de notre côté pour réussir à attraper notre dernier avion.
Puis on s’installe à la porte d’embarquement pour attendre notre vol.
On embarque sur notre vol Doha-Sao Paulo et à nouveau, on va se consacrer pendant plusieurs heures aux activités principales sur un vol en avion : manger, regarder des films et dormir (un peu).
Arrivés à Sao Paulo, on est sur les starting blocks. Comme on est à l’avant de l’avion, on est dans les premiers à sortir, on court vers la porte d’embarquement de notre dernier vol, on arrive à la sécurité, il n’y a personne (quelle chance !), on pose nos sacs sur le tapis roulant et… on nous demande nos cartes d’embarquement !
On explique notre situation, rien à faire. Sans cartes d’embarquement, on ne peux pas aller plus loin. Notre vol part décolle dans 30 minutes, les passagers doivent être en train d’embarquer.
On trouve une employée de l’aéroport et on lui explique notre situation, elle nous dit d’attendre ici, qu’elle va chercher quelqu’un de Qatar. Et elle part en marchant tout doucement (en tout cas de notre point de vue de passagers fatigués et stressés de rater notre dernier vol). Les minutes qui passent nous semblent interminables, on ne voit personne arriver. Au bout de peut-être 10 minutes, je relance une employée de l’aéroport qui nous dit… d’attendre, notre vol décolle dans 20 minutes. Puis un passage nous montre du doigt un employé de la Qatar qui arrive, je cours le voir. Il est avec des passagers ans la même situation que nous mais dont le vol décolle dans plusieurs heures donc il nous prend avant. Il demande nos noms qu’il écrit sur un papier sans se presser et maintenant on a le droit de passer à la sécurité. Pas de chance maintenant, il y a du monde et on nous demande de faire la queue Le mec d’avant semble avoir un problème avec son sac (épreuve de patience). Une fois la sécurité passe on court vers la porte d’embarquement qui heureusement n’est pas loin et on arrive… 1 minute avant la fermeture de l’embarquement.
On nous demande nos boardings pass, on n’en a toujours pas. Il doivent nous les éditer sur place et ça prend un peu de temps car apparemment le numéro de vol a changé. On sent que tout le monde se prépare pour le décollage, les portes se ferment, on remballe les équipements, sur l’écran d’embarquement, c’est autre vol qui apparait.
Des passagers en retard arrive en courant et embarquent. Ils nous doivent une fière chandelle, on a retenu le vol pour eux. 🙂
Enfin et après plusieurs impressions des cartes d’embarquement, on les tient enfin dans nos mains et on embarque.
On s’installe, on boucle nos ceintures, ca y est c’est bon, on est soulagés !
Le vol décolle avec 10 minutes de retard (à cause de nous ?) et c’est parti pour les dernières heures de vol.
Arrivés à Buenos Aires, il est 14H30 heure locale,on récupère nos bagages qui nous ont bien suivi sur les trois vols. Je préviens le proprio, Hernan, qu’on arrive, il nous attend à l’appart. On retire un peu d’argent (on peut retirer max 35€) et on attrape un taxi pour l’appartment. Le temps est parfait, ciel bleu, température idéal. Il n’y a pas l’humidité qu’on avait en Asie, c’est hyper agréable.
On arrive à l’appartement, Hernan nous fait visiter, c’est très sympa et nous donne quelques indications sur le fonctionnement de l’appart, la sécurité, le taux de change ici. Apparement il y a deux taux, le taux officiel et le taux blue (du marché noir) qui est deux fois plus intéressant. Il faudra qu’on regarde ça quand on sera moins fatigués.
On apprend aussi que c’est le carnaval jusqu’à mardi, la plupart des magasins sont fermés.
Puis on se pose, on fait une petite sieste car on est épuisés, les garçons et moi on a du dormir max 4-5h sur le trajet. On se force à se réveiller pas trop tard et on va se balader dans le quartier.
Il y a plein de petits commerces, boulangerie, boucherie, fromagers, caves à vin, primeurs. C’est hyper sympa. On achète du pain, des croissants pour le petit déjeuner, du fromage, du vin rouge (ça nous avait manqué en Asie!), des fruits…
Le soir, on se fait un petit apéro avec le fromage et on part se coucher tôt pour récupérer.
Bonjour tous 4,
Plus que chaude la corespondance!!!!😅
Mais tout fini bien, en espérant que vous trouviez vos marques
Dans votre nouveau quartier. Reposez vous en attendant,
Le décalage horaire et le voyage ont dus vous épuisé. 😴
Bonne continuation , prenez soin de vous😍
Oui, c’était plus que tendu… mais on y est arrivés ! On commence à prendre nos marques doucement, à profiter de la vie de quartier avec « notre » petite boulangerie, un boucher excellent et un caviste en face de chez nous qui nous a super bien conseillé sur l’achat d’un vin rouge. Une bonne première impression pour le moment, la vie semble bien sympa ici. 🙂
Bisous.