C’est le weekend, on se réveille vers 9H.
Franck va mieux mais est encore bien pris.
On avait prévu de descendre au sud de Bali pour profiter des plages et dormir une nuit sur place mais vu l’état général, on décide de la jouer tranquille pour ce week-end.
Déjà, on doit trouver une pharmacie pour me réapprovisionner en gouttes pour les yeux. On en trouve une pas très loin sur Google Maps et comme c’est à côté de la Poste, on fait atelier cartes postales ce matin.
Les garçons se prépare un jus de mangue et des crêpes à la banane pour le petit déjeuner. On prend notre temps puis on va vers le bureau de poste, tout petit mais toujours aussi efficace.
Juste à côté il y a un grand supermarché où Sasha trouve la Patafix dont il avait besoin pour ses stop motions. Nael lui s’achète un jeu de carte avec des images de Bali, ça lui fera un souvenir.
Ensuite, on se dirige vers une première pharmacie, très propre et moderne mais ils n’ont pas les gouttes dont j’ai besoin, puis une seconde, classe aussi, mais qui n’en a pas non plus. C’est une vraie épopée. Il y a des bouchons de malade à Ubud car il y a des travaux d’électricité dans la rue. Finalement on trouve une espèce de petite échoppe bien roots où là, ils ont le médicament que je cherche. Merci.
On va ensuite déjeuner dans un petit warung qui est sur la route pour retourner chez nous. Il est super bien noté et effectivement, c’est très chouette. Il est complètement perdu au milieu des rizières, on y accède par des ruelles très mignonnes et l’ambiance est vraiment détendue. La mère cuisine, le fils sert, la cuisine est délicieuse. Une bonne adresse.
Puis on rentre à la maison. On profite de ce week-end au calme pour commencer à regarder la fin de notre périple en Amérique latine. On choisit de passer 3 mois à Buenos Aires et 2 mois à Medellin en Colombie, puis terminer les vacances scolaires en itinérant probablement en Colombie et en Équateur.
Pendant ce temps, on a la visite d’un singe dans notre jardin. Tranquille…
Le genre d’évènement qui ne risque pas de nous arriver en France !
On continue, on regarde les logements à Buenos Aires mais il n’y a pas une offre folle dans le quartier où l’on veut être. On trouve un appartement qui correspond à nos critères et on l’enregistre bien précieusement pour demander à réserver dès qu’on saura les dates précises de départ. Pour cela, il faut qu’on regarde les billets d’avions pour la Colombie, on se laisse des dates assez flexibles car parfois à 1 ou 2 jours près, les prix peuvent varier du simple au double. On repère un vol mais il commence à se faire tard et je n’ai pas envie de faire d’erreurs, on réservera tout ça demain matin.
