Le réveil est difficile ce matin. Est-ce que c’est lié au décalage horaire ? Ou à la pluie battante qui donne envie de rester sous les draps…

Un petit yoga et un café avec Franck pour se réveiller tranquillement.

Il va pleuvoir sans s’arrêter toute la matinée. 

Pour ce midi, faute de temps et pour ne pas finir trempés, on se fait livrer notre repas à la maison avec l’application Grab. On compatit avec le livreur qui va devoir affronter la pluie, on espère qu’il est bien équipé. Il arrive un peu plus tard et sec car la pluie s’est arrêtée.

Le repas livré est de toute beauté, du riz, des légumes et du poulet magnifiquement présentés dans des feuilles de bananiers. Et en plus, c’est super bon ! 

L’après-midi, comme il ne pleut plus, Nael peut lire au bord de la piscine et Sasha faire des longueurs.

On réceptionne aussi nos motos dans l’après-midi.

Du coup, le soir, on va à Ubud, déjà pour retirer de l’argent, car on est à sec, et pour se balader un peu. 

Petite frayeur au distributeur. Suite à la mésaventure de la dernière fois, je suis sur le qui-vive pour récupérer ma carte. Elle sort un peu puis… re-rentre ! Mince, c’est quoi cette blague ? J’appuie sur annuler du distributeur la carte sort un peu, puis je vois qu’elle s’apprête à rentrer, je l’attrape par le petit bout qui reste et… tire dessus. Non mais rends la moi !
Ca y est, je l’ai !

Mon explication (qui pourrait aussi expliquer pourquoi la carte s’est faite avalée la dernière fois), c’est qu’on a une carte en métal, super lourde, en tout cas plus lourde que les cartes habituelles en plastique et que le mécanisme, le petit tapis roulant à carte, est peut être un peu faiblard et n’a pas la puissance pour sortir la carte. C’est une hypothèse…

Cette mésaventure passée, on continue notre ballade à Ubud, on rentre dans un librairie où tellement de livres nous font envie mais on ne peut rien prendre pour ne pas surcharger nos valises, snif…

Puis on finit la soirée dans un resto au cadre exceptionnel sur fond de musique balinaise.